Je suis GBANDI Aïcha. En 2021, j'ai obtenu mon master 2 en histoire du droit et des institutions à l'université de Bordeaux. Durant mon cursus universitaire, j'ai participé au concours Jean-Pictet, organisé par le Comité pour le Concours Jean-Pictet (CCJP) aux États-Unis, à Charlottesville, en 2015. Je suis successivement finaliste et lauréate des concours de plaidoirie organisés par le Comité International de la Croix-Rouge au Togo et en Tunisie (2013).
Mon livre de droit international humanitaire titré
que je vous propose d'obtenir est destiné aux étudiants, associations, enseignants, chercheurs, professionnels et à tous ceux qui souhaitent aiguiser voire approfondir leurs connaissances en droit international humanitaire.
Cet ouvrage aborde plusieurs questions de droit positif comme: |
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1- Les critères de qualification juridique des conflits armés |
2- La protection des personnes et des biens lors des conflits armés |
3- Le rôle du Comité International de la Croix-Rouge et des associations qui militent pour le respect des droits humains |
4- Le rôle de la Cour Pénale Internationale dans la mise en œuvre du droit international humanitaire... |
C'est un recueil de cas pratiques qui permet de s'exercer aux jeux de rôles et d'imaginer le déroulement d'un procès fictif.
" Ecrire un livre de Droit international humanitaire (DIH) revient à promouvoir sa mise en œuvre. Et l’on ne peut que se féliciter d’une telle initiative ! La guerre a toujours été une occasion où les plus forts s’affirmaient sur la scène internationale, écrasant les plus faibles.
Loi du talion ? Ou de la jungle ?
Le droit de la force l’a jusqu’à présent toujours emporté sur la force du Droit!
Épées, lances, arcs, chars…
Ces mots sont restés familiers dans le langage des guerriers. Et qui fait la guerre ne peut exclure de son vocabulaire les termes de sang, mort, esclaves, pillages, butin, déportation… De nos jours, les méthodes et moyens de guerre ont changé, ainsi que les mobiles qui poussent les États à entrer en conflit. Ces conflits armés, guerres internationales ou guerres civiles, constituent la réalité la plus cruelle de notre époque.
Le bilan des morts, des blessures, des souffrances, des déplacements de personnes, des atteintes à l’environnement, des destructions de biens qu’entraînent les guerres, est terrifiant. Le DIH a ainsi pour ambition de protéger les personnes en situation périlleuse lors d’un conflit. Le droit de la guerre semble a priori paradoxal puisque la guerre est, le plus souvent (voir les exceptions des articles 42 et 51 de la Charte des Nations), la violation du Droit international public et que c’est même cette violation qui va conditionner l’applicabilité du Droit international humanitaire. La guerre est hors la loi internationale, mais il y a des lois internationales dans la guerre car on est en présence de deux sphères de droit : le jus ad bellum et le jus in bello. Quand les armes parlent, le droit n’est donc plus muet, et les quatre Conventions de Genève de 1949 et les Protocoles additionnels de 1977 poursuivent un double objectif : limiter les droits des combattants dans les méthodes et moyens de guerre pour la conduite des hostilités, protéger les droits des non-combattants, à savoir la population civile et les militaires hors de combat.
Mademoiselle Aïcha GBANDI a participé au concours national de plaidoirie en Droit international humanitaire organisé par le Comité international de la Croix-Rouge au Togo, puis au concours régional francophone, qui s’est déroulé en Tunisie (2013), où elle fut lauréate. Elle a par la suite été sélectionnée avec l’équipe de l’Université de Lomé pour participer au Concours Jean-Pictet qui s’est déroulé à Charlottesville du 28 mars au 4 avril 2015 en Virginie. J’ai pu à cette occasion évaluer ses compétences en Droit international public et en Droit international humanitaire ainsi que sa parfaite adaptation à se positionner dans un scénario fictif de conflit armé et à se plier aux exigeants jeux rôles qui doivent être improvisés (délégués du CICR, agents humanitaires, représentants d’organisations internationales, militaires, journalistes, conseillers juridiques ou conseillers politiques, diplomates, rebelles…)
Ces concours l’ont conduit non seulement à aimer le DIH mais aussi, à mieux l’assimiler comme discipline. Cet ouvrage se présente donc comme un partage de son expérience et contient des cas pratiques, suivis d’exercices, de sujets de réflexion susceptibles de permettre à tout étudiant de réfléchir, de se familiariser aux jeux de rôle, d’approfondir et en définitive de mieux assimiler son cours – forcément trop théorique – de DIH…
Bonne lecture de la «Cinquième Convention de Genève» ! "
Co-fondateur du Comité pour le Concours Jean-Pictet
Directeur honoraire de l’IPAG de l’Université d’Auvergne
Professeur associé à l’ESM de Saint-Cyr Coëtquidan
Intervenant à l’École de Guerre, à St-Cyr au Mont d’Or, à l’EOGN, et à l’Institut des Hautes Etudes (Tunis).
LIVRAISON
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**DROITS DE REVENTE (PAS DE DROIT DE REVENTE) **
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DROIT D'AUTEUR
Je suis en personne l'auteure de cet ebook. Le livre est protégé par les dispositions légales relatives droit d'auteur.
Chaque année, le concours Jean-Pictet se déroule dans un pays de l’Europe, de l'Asie, de l'Amérique ou de l'Afrique. La participation est ouverte aux étudiant.e.s en Droit.
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